Faust




Défense des droits des enfants au nom de l'islam :   quelle impudence, quel énormité !


La vision de l'enfance et de la sexualité dans les textes sacrés de l'islam est pourrie  de pédophilie et de débauche,  et du mépris du lien entre la mère et ses enfants : 

son prophète a consommé son mariage avec une Aicha de 9 ans quand il en avait 50, 
la loi islamique permet aux musulmans d’en faire de même, 
il a autorisé et recommandé l’excision, 
il ordonne de battre sa femme si elle se refuse aux envies physiques du mari, 
il autorise aux maris ou propriétaires d’esclaves d’imposer des positions sexuelles humiliantes,
il décrit aux jeunes un paradis peuplé de vierges et de jeunes garçons, 
il permet la polygamie et la répudiation de la femme, séparée alors de ses enfants propriété du père,
il recommande de battre les enfants qui ne prient pas dès neuf ans …

IL N'Y A PAS UNE FOIS LE MOT AMOUR DANS LE CORAN ET SON PARADIS N'EST QU'UN ENFER POUR VIERGES ET JEUNES GARCONS CONDAMNES AU VIOL POUR L ETERNITE

et cette liste n'est que partielle.

Bien que la doctrine chrétienne cède aussi à la vanité masculine et justifie un pouvoir indu des hommes sur les femmes, ses principes essentiels, l'amour et la chasteté, sont des principes à la fois égalitaires et protecteurs, de la vie, de l'intégrité physique, des femmes et des enfants. 

Les militants musulmans se servent de la bataille pour la défense des enfants, pour imposer la loi islamique qui les baffouent. 
Les militants chrétiens qui espèrent leur revanche sur les athés par une alliance avec eux sont aussi suicidaires que Faust.

Je suis très alarmée aussi par l'enseignement aux enfants à l'école d'une éducation sexuelle OBLIGATOIRE et d'un endoctrinement au "genre".

Je suis pour qu'il soit obligatoire de mettre à la disposition des jeunes des informations sur le corps etc afin qu'ils puissent s'informer et poser des questions si ils le souhaitent, mais je suis contre l'education sexuelle obliagoire parce que OBLIGER à quoi que ce soit, dans ce domaine de la sexualité, c'est une forme de viol, et donc de viol pédophile - fait par des adultes -.

Je suis contre cet endoctrinement au "queer" parce que je suis contre tout endoctrinement à l'ecole,
L'école doit instruire sur les outils de la réflexion et non pas inculquer quelque doctrine que ce soit, elle doit enseigner la responsabilité et la dignité que donne à l'humanité la raison et le langage, et non inculquer la docilité et l'obéissance face à quelque terrorisme intellectuel que ce soit.
L'école doit apprendre aux enfants l'orthographe, la grammaire, la recherche d'information, la rhéthorique et la dissertation, art du débat et de l'exposé de ses idées. Elle peut aussi informer les élèves sur les débats d'idées en cours.
L'ECOLE NE DOIT PAS LEUR MENTIR EN PRESENTANT COMME VERITE SCIENTIFIQUE DES HYPOTHESES ET THEORIES FAISANT L'OBJET DE VIFS DEBATS DANS LA SOCIETE.
ELLE NE DOIT OPPOSER LES ELEVES A LEURS PARENTS.

J'ai milité pour la loi interdisant le voile à l'école, parce que, entre autres, je savais que les élèves musulmanes avaient la possibilité d'un enseignement public par correspondance, et donc n'étaient privées d'enseignement si elles obéissaient à leurs parents. 

T'es le diable "réac" petit salaud, t"es une coincée malade petite salope si tu n'as pas une vie sexuelle à 10 ans : voilà le terrorisme infligé aux enfants! Regarde donc ces sexes, écoute quand on t'explique comment ils réagissent, et toi là au fait, tu ressens quoi : voilà le viol de ces "enseignements" !

Les féministes devraient s'insurger contre ces agressions.

Je voudrais que toutes les féministes qui dénonçant la théorie "queer", et l'hypersexualisation des enfants, fassent entendre leur voix !!!





Ce mercredi 19 janvier, en présence de trois hommes qui n’ont pas réagi - Alain Escada, Jean-Pierre Dickès, l'abbé Guillaume de Tanouarn, ont été prononcé les paroles terribles suivantes :

Ahmed Miktar, président de l’Association des imams de France
Minute : 33-34
« Moi j’appellerai cette alliance à laquelle nous participons aujourd’hui une alliance de protection à laquelle le prophete de l’islam a dit de son vivant : si le peuple de quraish , qui était idolâtre, et qu’il a chassé de sa ville natale, si quraish, ce peuple idolatre m’appelle a une alliance de protection je la signerai,  donc moi je signe avec Mme Belghoul et tous ceux qui sont autour de cette table » 

Nabil Ennasri, président du Collectif des musulmans de France
Minute  58-05
« Aujourd’hui nous devons être indépendants et à partir de notre référentiel islamique, qui doit être la boussole de notre orientation politique, nous pouvons avec des croyants notamment chrétiens, à partir de la défense de l’enfance, faire un des principaux chevaux de bataille pour notre engagement militant. »

La première phrase signifie que l’alliance conclue ce jour est un pacte de « protection », d’autres disent « dhimmitude » dérivé « dhimma » (pacte), conforme à au verset 29 sourate 9 du coran. Les catholiques sont placés sous la protection des musulmans à condition qu’ils versent tribut en s’humiliant/ s’abaissant.
La seconde phrase signifie que cette alliance applique la même stratégie pour la conquête de la France, que celle de Mahomet lors de la signature du traité Al-Hudaybiya avec les Quraish,   préparant la conquête de la Mecque, objet de la sourate 48 du coran Al Fath, qui rappelle au verset  27 que la trêve de Al-Hudaybiya avait été inspirée par Allah à Mahomet pour remporter la victoire « en toute sécurité ». Cette sourate rappelle aussi (verset 29) que les musulmans sont « durs avec les mécréants » et que telle est la règle pour toujours (verset 23) !
Mahomet disposant de troupes trop faibles au moment du traité avec les Quraish, préfère signer une trêve pour se renforcer avant de réattaquer. A l’époque les musulmans l’ont critiqué, voulant attaquer tout de suite. Exactement comme les musulmans qui ne veulent pas aujourd’hui de cette alliance avec des chrétiens. Ennasri leur répond comme le fit Muhammad paix et bénédiction sur lui : une trêve permettra de se renforcer et d’obtenir « une victoire éclatante »

Voir les références textuelles ci-dessous.

J’ajoute deux points :
1 – les catholiques pourraient reprendre de leur côté et sur la SEULE base de leur conception de la loi naturelle, qui n’est PAS celle de l’islam, l’initiative de boycott de l’école DEJA DEMANDEE IL Y A TROIS ANS PAR L’ABBE PAGES :  http://youtu.be/3Rqvc4NU3Xo  ( minute 1-30)
2 – Soral et ses amis dont Belghoul reproche aux juifs/sionistes de critiquer l’islam pour diviser Français chrétiens et musulmans et les dominer. Si je parle, on ne m’écouteras donc pas… Je veux défendre le christianisme en France parce qu’il est la religion petite sœur du judaisme, par lequel, ont été transmis les deux commandements essentiels du Dieu d’Israel,  aimer dieu et aimer son prochain » « tu aimeras ton prochain, [car] je suis l’Eternel », « car » est rajouté par les rabbins. Commandements et base de la création et de la vie transmis aux peuples qui n’avaient pas accepté initialement l’alliance proposée par dieu [ racontent les rabbins] pour le reste de la torah, par Jesus qui a « juste » remplacé l’explication verbale (par la loi, regle monachique du peuple-pretre) par la démonstration/accomplissement  (la croix). Je ne suis pas croyante mais nul besoin de l’être pour voir que ces commandements sont indispensables en pratique : sans (tenter d’) aimer on s’entretue et on laisse mourir les enfants.






Bible traduction du Rabbinat : Levitique 19 :  16 Ne va point colportant le mal parmi les tiens, ne sois pas indifférent au danger de ton prochain: je suis l'Éternel.17 Ne hais point ton frère en ton cœur: reprends ton prochain, et tu n'assumeras pas de péché à cause de lui. 18 Ne te venge ni ne garde rancune aux enfants de ton peuple, mais aime ton prochain comme toi-même: je suis l'Éternel. 19 
Coran sourate 9 : 29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humiliés . 30. Les Juifs disent : "Uzayr est fils d'Allah" et les Chrétiens disent : "Le Christ est fils d'Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse! Comment s'écartent-ils (de la vérité)?
Coran sourate 48 : Al Fath (LA VICTOIRE éCLATANTE) 
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.  1. En vérité Nous t'avons accordé une victoire éclatante,2. afin qu'Allah te pardonne tes péchés , passés et futurs, qu'Il parachève sur toi Son bienfait et te guide sur une voie droite;3. et qu'Allah te donne un puissant secours.4. C'est Lui qui a fait descendre la quiétude dans les coeurs des croyants afin qu'ils ajoutent une foi à leur foi. A Allah appartiennent les armées des cieux et de la terre; et Allah est Omniscient et Sage (…) 10. Ceux qui te prêtent serment d'allégeance ne font que prêter serment à Allah : la main d'Allah est au-dessus de leurs mains. Quiconque viole le serment, ne le viole qu'à son propre détriment; et quiconque remplit son engagement envers Allah, Il lui apportera bientôt une énorme récompense.  (…) 16. Dis à ceux des Bédouins qui restèrent en arrière : "Vous serez bientôt appelés contre des gens d'une force redoutable. Vous les combattrez à moins qu'ils n'embrassent l'Islam. Si vous obéissez, Allah vous donnera une belle récompense, et si vous vous détournez comme vous vous êtes détournés auparavant, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux". 17. Nul grief n'est à faire à l'aveugle, ni au boiteux ni au malade . Et quiconque obéit à Allah et à Son messager, Il le fera entrer dans des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux. Quiconque cependant se détourne, Il le châtiera d'un douloureux châtiment.
(…)  22. Et si ceux qui ont mécru vous combattent, ils se détourneront, certes; puis ils ne trouveront ni allié ni secoureur. 23. Telle est la règle d'Allah appliquée aux générations passées. Et tu ne trouveras jamais de changement à la règle d'Allah. (…) 27. Allah a été véridique en la vision par laquelle Il annonça à Son messager en toute vérité : vous entrerez dans la Mosquée Sacrée si Allah veut, en toute sécurité, ayant rasé vos têtes ou coupé vos cheveux, sans aucune crainte. Il savait donc ce que vous ne saviez pas. Il a placé en deçà de cela (la trêve de Hudaybiya) une victoire proche .28. C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la guidée et la religion de vérité [l'Islam] pour la faire triompher sur toute autre religion. Allah suffit comme témoin. 29. Muhammad est le Messager d'Allah. Et ceux qui sont avec lui sont durs envers les mécréants, miséricordieux entre eux. Tu les vois inclinés, prosternés, recherchant d'Allah grâce et agrément. Leurs visages sont marqués par la trace laissée par la prosternation. Telle est leur image dans la Thora. Et l'image que l'on donne d'eux dans l'évangile est celle d'une semence qui sort sa pousse, puis se raffermit, s'épaissit, et ensuite se dresse sur sa tige, à l'émerveillement des semeurs. [Allah] par eux [les croyants] remplit de dépit les mécréants. Allah promet à ceux d'entre eux qui croient et font de bonnes oeuvres, un pardon et une énorme récompense. »

Traité d'Houdaybiya

Le traité d'Houdaybiya (arabe : غزوة الحديبية) est un pacte signé entre Mahomet et les autorités mecquoises, qui devaient permettre au prophète de l'islam et a ses fidèles de se rendre en pèlerinage à La Mecque pendant trois jours l'année suivante. Il prévoyait également un période de paix de dix ans entre les deux parties. Mais les Mecquois brisèrent le traité l'année suivante[réf. nécessaire]et Mahomet conquit la ville en 630.
Les Quraychites dépêchent Suhaïl Ibn 'Amrou pour lui proposer de reporter son pèlerinage à l'année suivante pour que les tribus arabes ne leur reprochent pas leur faiblesse face à Mahomet. Le prophète, favorable à la paix, accepte leur proposition. Omar ibn al-Khattâb manifeste son opposition au traité au prophète. Ce dernier lui fait comprendre que c'est la volonté de Dieu. Le texte du traité est écrit par Ali ibn Abi Talib sous la dictée du prophète.
Les musulmans désireux de visiter la Mecque sont très déçus. Mahomet les réconforte et leur promet la victoire finale3.  Emory C. Bogle (1998), Islam: origin and belief [archive], University of Texas Press, p. 19.

Conquete de la mecque Wikipedia
«  La Mecque fut conquise par Mahomet et ses partisans le 1er ou le 11 (?) janvier 630 (le 10 de Ramadan, en l'an 8 après l'hégire), après que le traité d'al-Houdaybiyya fut brisé par la trahison des Quraych, lorsque la tribu des Banu Bakr, allié des Quaraych, attaquèrent les Banu Khuza'a, allié de Mahomet alors que le traité stipulait que « Toute agression contre une tribu se joignant à l'une ou à l'autre partie serait considérée comme visant cette dernière1. ». Suite à cette violation du traité Mahomet rassembla une armée d'environ 10 000 hommes et marcha vers La Mecque1. « 
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L'évènement
Les sources parlent de tensions entre Muhammad et les personnes influentes de la tribu de Quraysh qui contrôlaient la Mecque, sa ville natale. Les chefs Qurayshites ont vu le prophète parvenu comme une menace directe pour leurs intérêts car son message monothéiste sapait le statut de La Mecque comme lieu de pèlerinage pour les adeptes des religions polythéistes arabes. Les tensions entre les Qurayshites et la communauté musulmane naissante ont finalement contraint Mahomet à fuir la ville en 622, et il a trouvé refuge à Médine, une ville au nord de la Mecque. En 628, Mahomet avait acquis assez de force à Medine pour contester les Qurayshites et, éventuellement, les vaincre et prendre leur ville; au lieu de cela, il a conclu une entente avec eux. Appelé traité de Hudaybiya, du nom de la ville où il fut signé, ce pacte déçut beaucoup de musulmans, qui étaient prêts à en découdre. Le traité conclu que les deux parties
« ont convenu de supprimer la guerre pendant dix ans. Pendant ce temps, les gens sont en sécurité et nul ne peut mettre la main sur un autre. . . . Entre nous, on doit s'abstenir de se faire du mal, et il n'y aura pas de pillage ou de spoliation. »
Dans les vingt-deux mois après la signature du traité, de manière significative Muhammad a construit sa base de pouvoir. Il a fait de nouvelles conquêtes et conclu des alliances avec des tribus puissantes, en particulier avec les Bani Khuza'a. En conséquence, en 630, il a été beaucoup plus fort vis-à-vis de Quraysh qu'au moment de la signature. Quraysh a fait moins bien en termes de conclusion de nouvelles alliances, mais il s'alliera avec une autre tribu forte, les Bani Bakr. (…)
Muhammad avait déjà fait des préparatifs tranquilles pour un assaut sur Quraysh. Cela signifie qu'une fois les négociations à bâtons rompus terminées, il était prêt en peu de temps à lancer une force énorme sur la Mecque. Si impressionnante était son armée que les Mecquois ne firent aucun effort pour y résister. Au lieu de cela, ils se sont rendus, dans leur ville, sans combat en Janvier 630. Et ainsi se termina l'incident de Hudaybiya.




synagogue

Les petits garçons sont en danger ...



Autrefois parait-il, on mettait des enfants dans des cages pour les empêcher de grandir et en faire des nains, montrés en spectacle ...
Ainsi pourrait on résumer la politique actuelle d'éducation des petits garçons au nom de l''égalité".

La peur instinctive des femmes devant la force des hommes, sert de prétexte à une folie.
Si les petits garçons ne devenaient pas grands et forts, ils ne se seraient plus dangereux. Enseignons leur à se conduire comme des faibles. Faisons leur prendre la force en horreur.
Privons les d'une éducation qui les encouragerait à devenir aussi grands et forts et endurants qu'ils le peuvent ...

L'esprit de l'enseignement aux "rôles de genre" dès la petite école est bien celui-ci.
Il s'agit d'une mutilation, d'une maltraitance. Il ne peut que produire des adultes malheureux et plein d'une rancoeur plus ou moins maitrisée envers les femmes au nom desquelles cette mutilation dramatique aura été faite.

Faire d'un garçon un homme, c'est l'encourager à développer au maximum toutes ses capacités, à grandir, à devenir fort, à apprendre à maitriser sa force, et ce dès le plus jeune âge. Et puis, lui apprendre la politesse, et puis, plus grand, lui apprendre le courage ... lui apprendre que la violence envers les faibles est une lâcheté, une bassessse ...

J'ai beaucoup ri quand un avocat se targuant de me donner des leçons de féminisme .... s'est mis à me crier plusieurs fois dessus. Ce pauvre nul, en féminisme comme en d'autres domaines, oubliait juste une règle élémentaire : un homme convenable ne crie pas sur une femme.

Informer les enseignants, les conseillers d'orientation sur les résultats des études de genre féministes, sur l'enseignement est tout à fait utile. Les enseignants subissent en effet des influences, ont des réflexes dont ils n'ont pas forcément conscience et il est nécessaire de les former sur cette question. Une ou des études ont observé que des maîtres avaient tendance à donner ou laisser plus la parole aux garçons qu'aux filles dans les classes : la parole "interessante" est masculine ... Rendre les enseignants conscient de ce genre d'attitude peut être utile.

Mais l'éducation aux "rôles de genre" à l'école aux enfants est une absurdité.

C'est à la maison que l'enfant peut avoir la chance d'apprendre à la fois qu'un homme n'abuse pas de sa force, même si il peut s'en servir pour imposer aux enfants de bien se conduire, et que chacun des adultes se préoccupe se préoccupe d'abord des souhaits, des gouts de l'autre, l'aide en tout selon les aléas de la vie matérielle, sans lui objecter que ce serait ou pas dans son "rôle de femme" ou d'homme de faire ou ne pas faire ceci ou cela ...
A l'école tout ce que les maitres devraient apprendre aux enfants relève de la politesse, de la gentilesse les uns envers les autres  :  ne pas se bousculer, ne pas dire de gros mots, ne pas profiter de sa force sur les plus petits ou sur les filles, aider les autres, faire toutes les activités qui plaisent. L'enfant apprend ces règles sans avoir besoin de comprendre leur fondement, et les intériorise, il peut voir les autres en faire autant, sans se voir empêchés sous prétexte que ce serait une activité de garçon ou de fille

C'est en observant les adultes, à la maison et à l'école, que l'enfant apprendra comment chacun respecte la liberté individuelle de l'autre, sans lui dire " choisi telle activité ou ne fait pas telle activité parce que tu es un homme ou parce que tu es une femme" ...., c'est en observant les adultes que l'enfant remarquera que certains hommes ont des gouts correspondent aux gouts les plus répandus des hommes et que certains n'y correspondent pas et idem pour les femmes , c'est en observant l'attitude des adultes principalement que le petit garçon devrait apprendre les règles de conduite d'un homme courtois, convenable et aimant ...

Mais si l'enfant voit qu'on le pousse à faire ce vers quoi ses gouts personnels ne l'inclinent pas, qu'on lui impose donc une norme de comportement, comment comprendrait il que l'on n'impose pas, aux femmes tel comportement et aux hommes tel autre au nom d'une autre norme ? Prétendre défendre la liberté individuelle de sortir de normes préétabli en commençant par en imposer une autre : absurde !

Si ce n'était qu'une absurdité, ce ne serait encore pas trop grave.

Mais le fait d'inculquer à des enfants des idées contraires à celle des parents, est à juste titre dénoncé comme dérive totalitaire. L'école ne devrait en aucun cas faire cela. L'école doit donner les outils de la pensée, non pas inculquer une pensée. L'école ne doit pas perturber les enfants en instillant un trouble émotif, un conflit de normes entre le maître et les parents.

Pour les enfants, le plus important est d'être dans un état de sécurité affective. Un enfant serein peut apprendre, emmaganiser des connaissances. Sur lesquelles il exercera son esprit critique plus tard. Ce que l'école doit lui apprendre ce sont les techniques d'apprentissage et d'examen, de réflexion, de recherche, non pas un résultat, non pas une idéologie. Peu importe ce que les parents enseignent comme idées à leur enfants, l'essentiel est que l'enfant apprenne au sein de sa famille a avoir de bonnes relations affective et se sente en sécurité affective. Sans quoi, s'il est perturbé, il ne peut rien apprendre ou beaucoup moins ... Plus tard, grâce à ces méthodes, quand il aura appris à apprendre, il pourra se forger sa propre pensée, remettre en cause l'enseignement des parents le cas échéant.

Un garçon à qui on apprend à l'école, même non explicitement mais réellement, qu'il doit détester ses caractéristiques masculines, qu'il ferait mieux d'aimer être comme une fille : que deviendra-t-il ? Comment pourrait-il apprendre sereinement ?

L''école devient de plus en plus dangereuse ...